Voilà, c’est fini ! Presque aussi triste que la chanson de Jean-Louis Aubert, la fermeture de la pêche du brochet fin janvier plonge les pêcheurs au leurre dans le désarroi. Faut-il changer la législation en vigueur pour continuer de traquer les autres carnassiers qui peuplent les eaux françaises ? Pourquoi pas, et si oui, comment préserver une à une ces espèces ? Tour de France, et d’Europe !
Sujet polémique s’il en est, la fermeture de la pêche du brochet provoque de nombreux débats sur les réseaux sociaux notamment. Il faut dire que c’est une contrainte pour les pêcheurs aux leurres et à certains appâts carnés. Mise en place à l’origine pour protéger le brochet, cette réglementation limite de nombreux pratiquants dans la traque des autres poissons carnassiers. Ces derniers ont des périodes de fraie décalées et il ne serait pas dramatique de les capturer en cette fin d’hiver. Les sandres ne sont pas encore sur leur nid, ni les black-bass, qui sortent tout juste de leur torpeur hivernale. Quant aux silures, aspes et perches, ils ne bénéficient pas de protection particulière, mais leur pêche est beaucoup plus difficile sans les leurres et autres vifs de gros calibres !Une fermeture utile ?
Le brochet doit-il être protégé ?…
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