Sujet de discorde récurrent entre « pro » et « anti », le no-kill s’est largement répandu sur les rivières à salmonidés avec la multiplication des parcours spécifiquement dédiés à cette pratique. Quel bilan peut-on aujourd’hui dégager de l’apport de ce no-kill en matière de qualité des populations et de valorisation de la pêche ? Le magazine Pêche Mouche fait le point sur la situation.
Lorsque Laurent m’a proposé d’ouvrir à nouveau cette boîte de Pandore qu’est la question du no-kill, j’ai d’abord pensé « Encore! » avant de m’apercevoir que le dernier dossier que nous avons consacré à ce thème remontait à quelques années ! Alors je me suis dit que le moment était finalement bien choisi pour parler à nouveau de ce sujet qui a l’art de diviser les pêcheurs et les gestionnaires. Qu’on l’appelle « graciation » (ce qui fait un peu chevaleresque et sympathiquement désuet), « no-kill » (à vérifier !) ou « catch and release » (terme bien plus pragmatique), la remise à l’eau systématique des poissons relève d’abord d’une attitude et d’une conviction personnelle avant même de se poser en préoccupation…
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